Sylvia bongo - Première Dame du Gabon

Après l’impatience, le divorce entre Ali bongo et les populations gabonaises est consommé !

Souvenir | Republication d’un article du 22 avril 2014 |Gabon : Sylvia Bongo, "se servir ou servir ?"
Sylvia bongo – Première Dame du Gabon

Cependant, si le comportement immature à certains égards du chef de l’état gabonais explique en grande partie ce désamour, il y a celui aussi de certains de ses très proches, en l’occurrence ici, son épouse, Sylvia Valentin. Un très proche de ce couple présidentiel disait d’elle : elle est une caricature de première dame, une gloutonnerie pire qu’une paysanne sauf la couleur de sa peau la différencie des autres !

Voici l’analyse froide qui décrit le comportement ambigu si ce n’est plus de cette dame :

QUE LA CHARITÉ CAVIAR DE SYLVIA BONGO ARRÊTE DE SE FOUTRE DES GABONAIS DÉSŒUVRÉS !

L’hypocrisie de Sylvia Bongo, l’épouse d’Ali Bongo, ne connait donc point de limite. Alors que tous les Gabonais connaissent son fastueux train de vie, à leurs dépens, car l’argent lui permettant de vivre mieux que Crésus provient de la trésorerie nationale, cette femme est encore allée dernièrement salir son beau pantalon blanc, sur la misère des pauvres sinistrés de Moanda qui ne demandent pas la charité, mais des conditions de vie décentes et durables.

Incapable de répondre aux besoins les plus élémentaires des gabonais, le régime envoie en palliatif, Sylvia Bongo et quelques photographes-caméramans, promettre monts et merveilles à ces pauvres populations qui sont au degré zéro de la pauvreté et de la vulnérabilité ; des promesses qui ne seront naturellement jamais tenues. La preuve ?

Après être allé pleurer à la maternité de l’Hôpital Général de Libreville, qu’a fait Sylvia Bongo pour cet hôpital ? Où en sommes-nous aujourd’hui ?

Après avoir fait un holdup sur la lutte contre les crimes rituels au Gabon, avec la complicité de certains qui s’expliqueront le temps venu devant l’histoire, ces crimes ont-ils ralenti au Gabon ? Combien de commanditaires ont été arrêtés ? Tout le monde sait que les préoccupations de cette dame n’ont rien à voir avec la pauvreté qui pourrait sévir à Moanda; elle qui passe le clair de son temps en grande pompe dans les quartiers les plus chers de Londres, un jet privé avec équipage l’attendant en permanence sur le tarmac de l’aéroport pour l’emmener en balade vers d’autres destinations cinq étoiles, vers des multiplicités de séances de shopping dans les boutiques de luxe, de diners dans les restaurants les plus prestigieux du monde, etc. Les problèmes de pauvreté et de précarité au Gabon ne sont pas au cœur de l’existence de Sylvia Bongo.

Les problèmes du Gabon, pays où la population est en proie à de graves problèmes de pauvreté, ne semblent pas préoccuper Sylvia Bongo ; alors ce blog trouve extrêmement déplacé que cette dame continue à se servir des pauvres gabonais comme de vulgaires mascottes qu’on exhibe devant les caméras pour se donner bonne conscience. Ces conneries doivent s’arrêter. Cette dame se fiche de la pauvreté des Gabonais comme de ses premiers tampons hygiéniques et ça il nous faut le dire haut et fort.

Que ceux qui comme Sylvia Bongo profitent du pillage, du vol et de la spoliation des Gabonais, ne reviennent pas sur les lieux de leurs crimes jouer aux mères Thérésa quand les conséquences de leurs crimes font des victimes. Qu’on ne prenne pas les Gabonais pour des naïfs ignorant qu’une importante part de responsabilité de leur pauvreté incombe à ceux qui achètent des villas en occident pour des centaines de millions d’Euros avec l’argent devant servir au développement du Gabon. Les gens comme Sylvia Bongo et son père ne sont que des pirates venus sur les côtes gabonaises s’enrichir, sans autre forme de procès ni de considération pour les populations locales.

Que Sylvia Bongo vienne donc nous expliquer d’où elle tire son niveau de vie !?

Qu’elle nous dise avec quelle activité professionnelle elle a pu s’offrir un pied à terre dans un des quartiers les plus chers de Londres et un jet privé ? Donc qu’elle ne vienne pas emmerder les gens en rendant visite à ceux que son vol et son pillage tuent, laissent mourir, rendent malades, rendent pauvres.

On ne peut pas continuer à faire des courbettes, à accorder des passe-droits et à fermer les yeux, devant ces pratiques qui avilissent et déshonorent le Gabon !

 

Source : GABONERVANT
22 avril 2014
Republication, le 22 avril 2021

 

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