Le 8 mai dernier, les parlementaires togolais ont voté à 90 députés sur 91 inscrits, la réforme de la Constitution. Le nombre de mandats présidentiels est limité à deux pour une même personne. Quant au mandat des députés, il passe de cinq
2020, c’est dans quelques mois, et les intentions du président guinéen, Alpha Condé, de briguer un troisième mandat, contrairement à la Constitution qui n’en autorise que deux successifs, semblent se préciser. En tout cas, c’est ce que l’on est porté à croire
Ce 8 mai 2019, les Sud-africains sont appelés aux urnes pour élire les membres de l’Assemblée nationale et ceux des assemblées provinciales des neuf provinces du pays. Sixièmes du genre après celles de 2014, ces élections générales mettent aux prises une cinquantaine
En marge de la visite d’amitié et de travail de 48 heures qu’elle a entamée le 1er mai dernier au Burkina Faso, la chancelière allemande, Angela Merkel, a participé, aux côtés des présidents Roch Marc Christian Kaboré du Burkina, Mahamadou Issoufou
Patrice Talon a persisté et signé dans sa volonté d’organiser les législatives dans son pays, à l’exclusion de tous les partis politiques de l’opposition. La rançon de son entêtement à faire de l’Assemblée nationale une vulgaire boîte d’enregistrement est donc manifeste
« La chancelière allemande, Angela Merkel, effectue les 1er et 2 mai 2019, une visite d’amitié et de travail à Ouagadougou. Dès son arrivée, le 1er mai, elle aura une rencontre bilatérale avec le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, avant
Au Soudan, après la chute du président Omar el Béchir, la rue maintient la pression sur la junte qui s’est emparée du pouvoir. C’est ainsi que des milliers de Soudanais continuent d’investir la rue, en réclamant la démission du Conseil militaire
Alors que les sommets des chefs d’Etats africains sur la Libye, refermaient leurs portes, au Caire, le Maréchal Khalifa Haftar entend lancer l’assaut contre Tripoli encore aux mains du gouvernement d’union nationale reconnu par la communauté internationale. En effet, face aux combats
Le président égyptien, Abdel Fattah al-Sissi, a été concomitamment, hier mardi 23 avril, l’hôte de deux sommets africains, portant sur les crises qui secouent ses deux voisins, la Libye et le Soudan. Au nombre des invités de marque de la capitale
Au Soudan, après la chute du président Béchir, le 11 avril dernier, l’armée traîne le pas pour remettre le pouvoir aux civils. Obligeant l’Union africaine à sortir de sa torpeur pour lui donner un ultimatum de quinze jours pour s’exécuter, sous peine