Le Gabon est ébranlé par l’affaire Webcor ITP, qui dévoile des malversations et une corruption au sommet de l’État depuis le coup d’État du 30 août 2023.
Un contexte politique sous haute tension
Actuellement, le Gabon traverse une période de transition politique après l’ère Ali Bongo. Ce climat tumultueux met en lumière les défis de gouvernance et de lutte contre la corruption qui gangrènent le pays. La situation est exacerbée par des soupçons de malversations au plus haut niveau de l’État gabonais. Le scandale Webcor ITP éclate comme une bombe putride, révélant la pourriture qui ronge les entrailles de l’État gabonais ! Après le coup d’État du 30 août 2023, censé purger le pays de sa corruption endémique, voilà que les nouveaux dirigeants se vautrent déjà dans la fange des malversations ! Que se passe-t-il dans les coulisses obscures du pouvoir ? Qui tire les ficelles de cette mascarade grotesque ?
Soupçons de malversations au sommet
Des accusations de malversations impliquant des milliards de francs CFA ont émergé. Au cœur de cette tourmente, un protocole transactionnel suspect signé en catimini… L’affaire de la société maltaise Webcor ITP pue la magouille à plein nez ! Dix ans de bataille juridique pour finalement capituler honteusement ? Qui sont ces lâches qui ont bradé les intérêts du Gabon ? Diane Moussounda et Jean-Paul Komanda, marionnettes serviles ou architectes de cette trahison ? Qui les a autorisés à signer ce pacte avec le diable ?
Une Décennie de contentieux juridique
L’affaire Webcor, qui traîne depuis plus de dix ans, concerne la construction avortée du Grand Marché de Libreville. En 2015, l’État gabonais avait suspendu le projet, déclenchant un contentieux juridique avec Webcor ITP. Après plusieurs batailles judiciaires, la Cour d’appel de Paris a annulé une décision arbitrale qui condamnait l’État à verser 66 milliards de FCFA à l’entreprise.
Contre toute attente, l’Agence judiciaire de l’État (AJE) et le Conseil d’État gabonais ont récemment signé un protocole transactionnel acceptant de payer cette somme à Webcor ITP. Cette décision inattendue, après la victoire en appel, suscite de vives interrogations sur l’intégrité des hauts fonctionnaires impliqués, et au-delà, des nouvelles autorités à la tête du pays. Et que fait le CTRI, ce soi-disant comité de transition ? Se terre-t-il dans l’ombre, complice silencieux de ce pillage éhonté ? Où est passée la promesse d’intégrité, le serment de servir le peuple ?
Questions sur l’intégrité des dirigeants
Qui a autorisé Diane Moussounda, directrice générale de l’AJE, et Jean-Paul Komanda, premier président du Conseil d’État, à prendre cette décision ? Des rumeurs circulent selon lesquelles ils auraient agi sans mandat clair du gouvernement de transition dirigé par le Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI) sous Brice Clotaire Oligui Nguema. Le Gabon mérite-t-il d’être ainsi bafoué, trahi par ceux-là mêmes qui prétendaient le sauver ? Jusqu’où s’étend cette toile de corruption nauséabonde ? Combien de temps encore le peuple devra-t-il subir l’humiliation de voir ses richesses dilapidées ?
Une odeur nauséabonde de corruption
Cette affaire dégage une odeur de corruption et de trahison au plus haut niveau. Les marionnettistes de cette sombre affaire restent dans l’ombre, tandis que le peuple gabonais attend des réponses claires et immédiates. Il est grand temps que les coupables soient démasqués et traînés devant la justice ! Le peuple gabonais exige des réponses, et il les exige maintenant ! Qui osera enfin crever l’abcès de cette affaire pestilentielle ?
L’heure n’est plus aux tergiversations ! Que les responsables de ce scandale infâme tremblent : la colère du peuple gronde, et elle ne s’apaisera pas tant que la vérité n’aura pas éclaté au grand jour ! L’affaire Webcor ITP illustre les défis de gouvernance et de transparence auxquels le Gabon est confronté. Les citoyens gabonais, désireux de justice et de clarté, attendent des réponses et des actions concrètes pour éradiquer la corruption, restaurer la confiance dans les institutions et l’État de droit. Parce qu’il faut le dire et fort, depuis le coup d’État qui a renversé le régime « Bongo », la vie des Gabonais lambdas n’a pas varié. Par contre, les nouveaux venus et leurs cohortes nagent en plein bonheur. Il sera ardu de faire accepter aux Gabonais que l’on prenne des prêts en leurs noms pour donner l’argent à Webcor ITP. Pour rappel, 600 000 Gabonais vivent avec moins de 2 dollars par jour.
DBnews, Anne-Marie DWORACZEK-BENDOME
25/07/2024