Au Mali, les acteurs politiques préparent activement la présidentielle du 29 juillet 2018. Déjà, la Cour constitutionnelle vient de valider 24 candidatures.
Il ne reste plus que trois semaines pour que les populations maliennes puissent choisir leur candidat. A l’instant, la bataille est trop serrée entre les acteurs. Chaque candidat pense qu’il est le meilleur. Hormis les 24 candidats en lice, la cour constitutionnelle du Mali a rejeté six. Selon nos informations, les recalés ne présentent pas toutes les pièces. Ces six candidats ruminent leur colère et évoquent une cabale politique.
Parmi les candidats repêchés figurent l’ancien Premier ministre Cheick Mohamed Abdoulaye Souad dit Modibo Diarra et les anciens ministres Choguel Kokala Maïga et Mountaga Tall. La candidature de Harouna Sankaré, chef religieux et élu d’une localité du centre du Mali, a également été validée, selon l’arrêt de la Cour constitutionnelle.
Outre le président sortant, Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), et le chef de file de l’opposition, Soumaïla Cissé, dans la liste définitive des candidatures acceptées figurent également l’ancien ministre Mohamed Ali Bathily et une femme d’affaires, Djeneba N’Diaye. La campagne officielle pour la présidentielle doit débuter samedi.
Au Mali, les supputations vont bon train. Mieux, des observateurs avertis donnent leur avis sur la présidentielle du 29 juillet 2018. Pour certains, le président sortant, IBK, se trouve être dans une bonne position pour remporter la présidentielle du 29 juillet prochain. D’autres évoquent le contraire pour mauvais résultats.
Outre cela, on note une véritable bataille médiatique sur le terrain. Chacun y va de son commentaire. Une chose est certaine. Les populations maliennes vivent dans une insécurité totale. Jusqu’ici, les autorités de ce pays ont du mal à trouver une solution rapide pour sauver les populations. L’avenir nous édifiera. Qui vivra, verra !
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Avec Afric Telegrah