Il est consternant de constater que, motivés par une cupidité et une mendicité politique sans limites, alors qu’Oligui Nguema, président de la transition depuis le 4 septembre 2023, a tout verrouillé pour conserver son pouvoir (armée, administration, cour constitutionnelle, les deux assemblées, constitution, Code électoral, ressources financières et calendrier des scrutins à venir), certains individus se lancent dans une grève de la faim pour l’obliger à se porter candidat à la prochaine élection présidentielle, prévue le 12 avril 2025. Peut-on vraiment croire à leur sincérité ?
