Face au défi post COVID-19 qui oblige chaque pays, chaque continent à redéfinir et revoir son mode de fonctionnement, du coté gabonais, on a décidé de faire l’impasse sur cette démarche combien primordiale, mais de plutôt se consacrer à réveiller et utiliser la vieille rengaine et non moins dangereux sujet qu’ait le tribalisme. Pour mener à bien l’opération et attirer l’attention du plus grand nombre, on a pris quelques têtes de gondoles pour les besoins de la cause.
L’aberration de la division
Le poison de la division ne passera pas par moi. Désolée pour ceux qui ont fait le montage ci-dessus, la diversité ethnique est une force. Ceci dit , moi, Anne Marie DWORACZEK-BENDOME (née Bendome-Nguema), je suis de père et de mère Fang de L’Estuaire (Donguila, Nkoltang, Kango), née dans le 3e arrondissement de Libreville, quartier de Mont-Bouët. Dans la grande maison commune le « Gabon« , mes racines sont Esokè d’un côté et Oyek de l’autre.
A ma connaissance , aucune personne sur ce montage n’est tribaliste, tout simplement parce que le problème du pays a pour racine la prédation organisée en mode de gouvernance, et tous les groupes ou presque du pays ont un ou plusieurs membres associés au système.
Le problème du Gabon n’est pas Anne Marie DWORACZEK-BENDOME ou quiconque d’autres, mais ceux qui ont mandat d’agir au nom de l’intérêt commun et qui font le contraire. Si nos visages :
– l’Évêque Mike Jocktane, au 1er rang, en haut à gauche ;
– M. Alexandre Barro Chambrier, au 1er rang, à droite ;
– M. Franck Ping, au 2ème rang, à droite ;
– M. Jonas Moulenda, au 2ème rang, au centre ;
– Mme DWORACZEK-BENDOME AM, 2ème rang, à gauche, permettent à certains de cacher leur incompétence notoire, je les plains sincèrement.
A.M. DWORACZEK-BENDOME | 25 MAI 2020 | @DworaczekBendom