Douala, Cameroun – Une onde de choc secoue le pays. Junior Ngombé, 20 ans, est derrière les barreaux. Son crime ? Une vidéo critique envers le gouvernement.
Arrestation de Junior Ngombé : Une controverse de plus
L’arrestation a eu lieu le 24 juillet à Douala. Ngombé croupit maintenant au SED à Yaoundé. La nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre. La vidéo incriminée appelait à une meilleure gouvernance. Elle dénonçait l’arrestation d’un autre activiste, Ramon Cotta. Ngombé y exhortait à écouter les voix dissidentes. La réaction est fulgurante. Richard Bona, bassiste de renom, exprime sa fureur sur les réseaux sociaux. Maurice Kamto, leader du MRC, fulmine. Il exige la libération immédiate de Ngombé. Connu sous le pseudonyme « Junior G32« , Ngombé est un phare pour la jeunesse. Il incitait les jeunes à s’inscrire sur les listes électorales. Son but ? Contrer les possibles fraudes du RDPC aux présidentielles de 2025.
Réactions et Indignations
Cette arrestation soulève un tollé. Beaucoup y voient une tentative d’étouffer la contestation. La liberté d’expression est en péril, clament les défenseurs des droits humains. La société civile se mobilise. Les appels à la libération se multiplient. Le Cameroun est à la croisée des chemins. La démocratie vacille. L’avenir reste incertain. L’arrestation de Junior Ngombé est un électrochoc. Elle met en lumière les défis du Cameroun en matière de droits fondamentaux. La bataille pour la liberté d’expression ne fait que commencer.
Rédaction DBnews
27/07/2024