« Mon droit à l’indignation ! »
Mon droit à l’indignation résonne en moi comme une mélodie intérieure, un appel irrépressible à refuser la résignation face aux injustices qui ponctuent notre quotidien. Chaque fibre de mon être s’anime, refusant de rester insensible, car je sais que dans cette indignation réside la force de ma conscience.
C’est un choix délibéré, une décision de ne pas plier devant l’inacceptable. Mon droit à l’indignation devient ainsi le pilier sur lequel je construis ma dignité, une dignité qui refuse de s’effacer dans l’ombre de l’indifférence.
Victor Hugo, avec sa plume inspirante, évoque avec justesse le lien profond entre l’indignation et l’humanité : « Là où gronde l’indignation, là est l’homme. » Ces mots résonnent en moi, me rappelant que mon indignation n’est pas une faiblesse, mais une affirmation de ma volonté de faire face aux défis de notre époque.
Chaque cri d’indignation que j’émets, chaque refus de rester silencieux, contribue à forger le monde que je souhaite léguer aux générations futures. Mon droit à l’indignation devient ainsi une source inépuisable d’énergie, une force qui me pousse à agir pour un changement positif.
Anne-Marie DWORACZEK-BENDOME
Journaliste et Citoyenne engagée
31/01/2024