Suite aux allégations portées devant la Cour criminelle de Libreville (Gabon) contre la journaliste Anne Marie DWORACZEK-BENDOME, par l’ancien Directeur Général de la Gabon Oil Compagny (Goc), Monsieur Christian Patrichi Tanasa Mbadinga, cette dernière se réserve le droit d’engager toute action judiciaire appropriée pour son honneur bafoué par un voyou à col blanc.
Âgé de 40 ans, Christian Patrichi Tanasa Mbadinga est un homme aux abois.
Tout a commencé il y a deux ans, M. Patrick Christian TANASA, ancien directeur général de la Gabon Oil Compagny (Goc) était arrêté dans le cadre de l’opération anti-corruption connue sous le nom de « Scorpion » et mis en examen pour détournement et complicité de détournement des fonds publics, usage de faux et blanchiment des capitaux. Son procès et celui de ses coaccusés a débuté le 18 juillet et doit normalement prendre fin 20 juillet.
C’est donc avec étonnement que Mme DWORACZEK-BENDOME, qui n’a rien avoir avec ce dossier, a été surprise d’apprendre que Christian Patrichi Tanasa Mbadinga aurait déclaré devant la Cour pénale spéciale, ce mercredi 20 juillet 2022, que la journaliste, exerçant principalement en France, percevait par son intermédiaire une allocation mensuelle de 10 millions de francs CFA. Une information immédiatement relayée par différents médias.
Madame Anne Marie DWORACZEK-BENDOME dément et condamne avec la dernière énergie, les allégations de Christian Patrichi Tanasa Mbadinga fondées sur aucune preuve et qui portent atteintes à son honneur et à sa moralité.
Sauve-qui-peut !
En effet, depuis leur incarcération à la prison centrale de Libreville, beaucoup de ceux qui étaient des inséparables autrefois et connus par le grand public sous l’appellation des « BLA-boys », du nom de l’ancien directeur de cabinet du président Gabonais, M. Brice Laccruche Alihanga, se regardent désormais en chiens de faïence, pire, ils sont devenus des accusateurs les uns contre les autres.
Tribunal de grande instance de Libreville : Christian Patrichi Tanasa Mbadinga et ses défenseurs, ont-ils voulu faire d’une pierre deux coups avec la journaliste ?
En décembre 2020, des proches d’un des défenseurs de Christian Patrichi Tanasa Mbadinga, Me Anges Kevin Nzigou, s’en sont pris à Mme DWORACZEK-BENDOME sur Facebook avant que son nom ne soit jeté en pâture aujourd’hui. Soyons sérieux, Christian Patrichi Tanasa Mbadinga n’a jamais rencontré la journaliste directement ou indirectement durant ses heures de gloire.
Puisque qu’un procès se prépare en amont. En partant du postulat que Christian Patrichi Tanasa Mbadinga dise la vérité, a-t-il remis des preuves de ce qu’il avance à ses défenseurs avant de venir à la barre ?
La fin ne justifie pas les moyens !
Quoi qu’il en soit, les dispositions ont été prises cet après-midi au Gabon. Toute personne ou média qui trainera le nom d’Anne-Marie DWORACZEK-BENDOME dans la boue sans preuve à l’appui, recevra une citation à comparaitre immédiatement.
Anne Marie DWORACZEK-BENDOME
Journaliste – Communicant