Photo – Tribune : Brice Clotaire Oligui, Président du CTRI, Chef de l’Etat du Gabon - Assemblée des Nations unies pour l'environnement (UNEA-6)
Photo – Tribune : Brice Clotaire Oligui, Président du CTRI, Chef de l’Etat du Gabon - Assemblée des Nations unies pour l'environnement (UNEA-6)

Du 26 février au 1ᵉʳ mars 2024, le siège du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) à Nairobi, au Kenya, a accueilli la sixième session de l’Assemblée des Nations unies pour l’environnement (UNEA-6).

Photo - Nairobi, au Kenya, Assemblée des Nations unies pour l'environnement (UNEA-6)
Photo – Nairobi, au Kenya, Assemblée des Nations unies pour l’environnement (UNEA-6)

Cet événement d’envergure internationale a réuni des représentants des États membres de l’ONU, des organisations internationales, de la société civile et du secteur privé pour discuter des défis environnementaux mondiaux et adopter des décisions et des résolutions. Les principaux thèmes abordés lors de l’UNEA-6 étaient la lutte contre la pollution plastique, la restauration des écosystèmes et la promotion d’une économie verte et circulaire.

Une mobilisation mondiale pour lutter contre la pollution plastique

La pollution plastique est devenue un fléau mondial, menaçant la biodiversité et la santé humaine. Les déchets plastiques envahissent nos océans, nos rivières et nos sols, et leur impact sur l’environnement est de plus en plus préoccupant. Lors de l’UNEA-6, les pays ont adopté un plan d’action mondial pour lutter contre la pollution plastique, qui vise à réduire la production et la consommation de plastiques à usage unique et à promouvoir des alternatives durables. Les pays se sont également engagés à améliorer la gestion des déchets plastiques, notamment en renforçant les systèmes de collecte et de recyclage.

Le Gabon à l’UNEA-6

Photo – Tribune : Brice Clotaire Oligui, Président du CTRI, Chef de l’Etat du Gabon - Assemblée des Nations unies pour l'environnement (UNEA-6)
Photo – Tribune : Brice Clotaire Oligui, Président du CTRI, Chef de l’Etat du Gabon – Assemblée des Nations unies pour l’environnement (UNEA-6)

Au nom du Gabon, un pays dont pas moins de 88 % du territoire est recouvert de forêts luxuriantes, et en tant que membre influent des nations du bassin du Congo, d’importants investissements ont été consacrés au fil de nombreuses décennies pour préserver ce trésor naturel. La participation active du Général Brice Clotaire Oligui Nguema à la sixième session de l’Assemblée des Nations Unies pour l’Environnement (UNEA-6) souligne son engagement indéfectible à suivre les traces de ses prédécesseurs en matière de défense des enjeux environnementaux à l’échelle mondiale et son plaidoyer passionné en faveur d’un avenir durable. Dans son discours éloquent, il a non seulement exprimé sa préoccupation pour la planète, mais a également exhorté la communauté mondiale à prendre des mesures multilatérales vigoureuses face aux crises environnementales qui menacent notre écosystème.

Cette présence active sur la scène mondiale témoigne du rôle essentiel que le Gabon, sous la direction du Général Oligui Nguema, joue dans la promotion de pratiques environnementales responsables. En tant que gardien d’une biodiversité exceptionnelle et d’étendues forestières cruciales pour l’équilibre climatique mondial, le Gabon se profile comme un acteur clé dans la préservation des écosystèmes forestiers vitaux. Le Général, dans son plaidoyer à l’UNEA-6, a souligné la nécessité d’une coopération internationale renforcée pour faire face aux défis environnementaux urgents et a appelé à des actions concrètes pour préserver ces joyaux naturels pour les générations futures.

Restaurer les écosystèmes pour préserver la biodiversité

La restauration des écosystèmes dégradés est essentielle pour préserver la biodiversité et assurer un avenir durable. Les forêts, les terres et les océans sont des puits de carbone naturels qui contribuent à réguler le climat et à maintenir l’équilibre écologique. Lors de l’UNEA-6, les pays ont pris l’engagement de restaurer les écosystèmes dégradés et de promouvoir une gestion durable des ressources naturelles. Des initiatives telles que la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes (2021-2030) ont été lancées pour encourager les efforts de restauration dans le monde entier.

Promouvoir une économie verte et circulaire pour un avenir durable

La promotion d’une économie verte et circulaire est un élément clé de la lutte contre les défis environnementaux mondiaux. Une économie verte vise à réduire les émissions de gaz à effet de serre, à améliorer l’efficacité énergétique et à promouvoir les énergies renouvelables. Une économie circulaire, quant à elle, vise à réduire les déchets et à améliorer l’efficacité des ressources en bouclant les cycles de production et de consommation. Lors de l‘UNEA-6, les pays ont souligné l’importance de promouvoir une économie verte et circulaire pour assurer une croissance économique durable et créer des emplois verts.

L’obligation de mise en œuvre

La rencontre de Nairobi, au Kenya, a été un événement majeur pour la protection de l’environnement, qui a permis aux pays de réaffirmer leur engagement en faveur d’un avenir durable. Les décisions et les résolutions adoptées lors de cette session contribueront à guider les efforts internationaux en matière de développement durable et de protection de l’environnement dans les années à venir. Les progrès réalisés lors de l’UNEA-6 sont encourageants, cependant, il reste encore beaucoup à faire pour assurer un avenir durable pour la planète. Il est essentiel que tous les acteurs concernés, y compris les gouvernements, les entreprises et la société civile, travaillent ensemble pour mettre en œuvre ces décisions et résolutions et relever les défis environnementaux mondiaux.

Rédaction DBNEWS
2/03/2024

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