Bombardement

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Bombardement de Bouaké en 2004: pas de poursuites en France contre 3 ministres

Le procès du bombardement de Bouaké touche à sa fin. Après les auditions des ministres de l’époque en début de semaine, les avocats des quelque 80 parties civiles – survivants et proches des victimes – ont plaidé à leur tour mercredi 14 avril. S’ils ont analysé différemment les errements du gouvernement français de l’époque, ils ont tous appelé à la condamnation des trois accusés : Yury Sushkin, mercrenaire biélorusse, et Ange Gnanduillet et Patrice Ouei, deux officiers ivoiriens. Trois accusés jugés en leur absence

« Nous n’avons aucun doute sur leur culpabilité. » : Me Guillaume Fourier a résumé, avec ces mots, le sentiment des avocats des parties civiles du procès Bouaké à Paris. Selon Me Lionel Béthune de Moro, « il s’agit d’une action délibérée et concertée ». En conséquence, Me Fourier a appelé à une « condamnation exemplaire » des accusés, pour permettre « un apaisement » des parties civiles.



Avec Abidjan.net

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