Mme Liliane Massala, le nouvel Ambassadeur, Haut Représentant Permanent du Gabon en France et auprès de l’Organisation internationale de la Francophonie, qui a pris ses fonctions le mois d’octobre dernier, serait-t-elle en train de tomber dans le piège des membres de cette ambassade qui font business avec certains prestataires extérieurs tels que : photographes, journalistes, vidéastes, restaurateurs, etc.
Ces deals qui existent, et dans lesquels n’interviennent que des non gabonais, sauf en quelques très rares occasions, sont connu de tous.
Les mêmes causes produisent les mêmes effets !
Lors du colloque consacré aux opportunités de business au Gabon, qui s’était tenu au Palais du Luxembourg, siège du Sénat Français le 29 mars 2019, et dont Justin Ndoundangoye, ancien ministre des Transports et de la Logistique, était le Chef de délégation. Grande a été ma surprise de voir un gabonais, qui se présente comme un grand homme d’affaires en France arrivé avec l’ensemble de la délégation gabonaise et les hautes autorités. Et pourtant, les document avaient été adressés plus de 8 mois auparavant à l’Ambassadeur de l’époque, S.E.M. Flavien Enongoué et au Consul général, Mr Fabrice BOUSSOUGOU BOUSSOUGOU, dans lesquelles étaient indiqués l’interdiction d’activité par le tribunal de commerce de Paris, et ce, pour une durée très longue contre cet individu.
En déclinant sa feuille de route, S.E.M Mme Liliane Massala, a parlé de « diplomatie économique« . En connaissance des liens incestueux des uns avec les autres, il n’est pas à exclure de voir un de ces jours, ce monsieur à la moralité douteuse et aux pratiques d’escroc se tenir aux cotés de la diplomate.
Autre information bizarre ou intention malveillante, on aurait dit à Mme l’ambassadeur Liliane Massala que le bureau du Conseil des Gabonais de France (CGF), association de loi 1901 en France, née en août 2004, au Gabon, de la volonté du défunt Président Omar Bongo Ondmba, et entériné par une décision gouvernementale en Conseil des ministres à Libreville, n’existait plus. Hors, depuis les incidents nés des élections présidentielles du 27 aout 2016, et la démission du bureau qui était en exercice, certains gabonais présents en France réclament à corps et à cris le rétablissement du C.G.F sur le sol Français, quatre années sont passées et toujours aucune réponse de la part des autorités représentants le Gabon en France.
Copinages à outrance, mensonges, interférences, partis pris ont détruit les relations entre les nombreux Gabonais de France et les prédécesseurs de S.E.M. Liliane Massala. Il semblerait que l’on soit à nouveau dans une démarche similaire.
@DworaczekBendom
6 novembre 2020