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© Abidjan.net par CK

Politique: Conférence de presse de Kouadio Konan Bertin (KKB)
Jeudi 16 Aout 2018. Abidjan. L`ancien député et responsable de la jeunesse du Parti démocratique de Côte d`Ivoire (PDCI), Bertin Kouadio Konan dit KKB a animé un point de presse à son cabinet en présence de plusieurs membres de son cabinet

Kouadio Konan Bertin dit KKB, ancien parlementaire en rupture de ban avec sa formation politique, le Parti démocratique de Côte d’Ivoire ( PDCI) est ostensiblement le seul candidat ( indépendant) qui affrontera le président sortant Alassane Ouattara à l’élection présidentielle du 31 octobre prochain après l’appel au boycott lancé par les autres candidats.

Âgé de 52 ans, KKB qui est à sa deuxième participation à un scrutin présidentiel en Côte d’Ivoire, se veut le candidat de la rupture avec la vieille classe politique ivoirienne et être celui de la nouvelle génération.

Depuis début octobre dernier, Kouadio Konan Bertin a été exclu temporairement du PDCI pour «insoumission et indiscipline notoire ». Le PDCI qui est le plus vieux parti politique ivoirien reproche à KKB de se porter candidat indépendant à la prochaine élection présidentielle alors que son parti a un candidat à ce scrutin, en l’occurrence son président Henri Konan Bédié.

En effet, KKB est perçu au PDCI comme un « mercenaire» du pouvoir pour déstabiliser son parti. «Les jeunes de Côte d’Ivoire ont besoin de se construire une vie dans un pays de paix, ils ont droit à l’éducation, à la vie, à la santé, mais dans un pays de paix (…) oui, de ce point de vue c’est la rupture parce que la Côte d’Ivoire doit renouer avec son destin» a dit Kouadio Konan Bertin après le dépôt de sa candidature à la Commission électorale indépendante ( CEI) le 26 août dernier.

KKB, audacieux et incompris au PDCI

Malgré sa relative jeunesse, Kouadio Konan Bertin totalise plus d’une trentaine d’années de militantisme au PDCI. Ancien président emblématique de la jeunesse du PDCI (2003-2013), KKB a du mal à s’accorder ou à être compris par sa formation politique ces dernières années.

Franc-parleur et audacieux, il s’est insurgé depuis 2014 contre l’appel historique d’Henri Konan Bédié, le président du PDCI à renoncer à une candidature de sa formation politique à l’élection présidentielle de 2015 et à soutenir le président ivoirien Alassane Ouattara.

Il ira jusqu’à braver la décision de M. Bédié en se portant candidat indépendant contre M. Ouattara à ce scrutin présidentiel de 2015. Surnommé le « soldat perdu» par le président Henri Konan Bédié à cause de ces affronts, KKB est resté droit dans ses bottes en maintenant sa candidature à cette élection.

« . A l’issue de ce scrutin, KKB est arrivé troisième avec 3,88%, des suffrages derrière Alassane Ouattara ( 83,66%) et Pascal Affi N’Guessan ( 9,29%). Depuis cette époque déjà, il avertissait sa formation politique de ce qu’en 2020, le parti d’Alassane Ouattara n’acceptera pas de « faire la passe» au PDCI à l’élection présidentielle de 2020.

Comme un prophète, le temps finira par donner raison à KKB avec la rupture politique entre MM. Bédié et Ouattara ayant pour corollaire le retrait du PDCI du Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix ( RHDP), la coalition au pouvoir. Il finira par se réconcilier avec M. Bédié en 2017 et renoue avec les militants de son parti.

Mais cette réconciliation entre KKB et son parti sera de courte durée puisque pour la présidentielle de 2020, il entendait encore une fois porter les couleurs du PDCI alors que M. Bédié lui-même envisageait d’être le candidat de l’ex-parti unique à cette élection. Ainsi, la candidature de KKB aux primaires du PDCI a été rejeté et c’est M. Bédié qui a été plébiscité candidat de cette formation politique à la présidentielle du 31 octobre 2020. Malgré ce rejet de sa candidature par son parti, Kouadio Konan Bertin qui dénonce une décision inique, a déposé sa candidature indépendante pour la présidentielle du 31 octobre prochain.

KKB veut incarner la nouvelle génération

Malgré l’appel au boycott de l’élection présidentielle du 31 octobre prochain lancé par l’opposition ivoirienne, KKB qui dit incarner la nouvelle génération à cette élection, n’entend pas se retirer de la course. Mieux, il dit croire en ses chances de battre à ce scrutin, le président sortant Alassane Ouattara. Âgé de 52 ans, KKB qui est le plus jeune parmi les candidats retenus à cette élection présidentielle, ambitionne de fédérer la jeunesse autour de sa candidature et de faire de son âge un atout.

« La jeunesse est l’avenir de notre nation. Elle est celle par qui notre pays se relèvera. Je serai le Président qui permet à la jeunesse de reprendre son destin en main», a promis KKB vendredi à Divo dans le Centre-ouest du pays lors d’une cérémonie de lancement de sa campagne électorale.

Il s’est offusqué à cette occasion du mot d’ordre de boycott de l’élection lancé par l’opposition estimant que « déserter les urnes n’est pas la solution».

« Il n’y a que par le vote qu’on peut faire entendre sa voix. Jeunesse de Côte d’Ivoire, ne perdez pas espoir», a lancé Kouadio Konan Bertin aux jeunes.

S’écartant de la conception du pouvoir portée par les principaux leaders politiques ivoiriens, notamment Alassane Ouattara, Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo, KKB ambitionne d’innover une fois élu président de la République de Côte d’Ivoire.

« Tous ceux que je vois ont déjà gouverné ce pays. Maintenant, je comprends tous les maux de la Côte d’Ivoire. Les oiseaux de même plumage volent ensemble. Nous, nous ne sommes pas du même plumage », a soutenu le candidat KKB.

Né le 28 décembre 1968 à Lakota dans Centre-ouest ivoirien, Kouadio Konan Bertin dit KKB est titulaire d’une maîtrise en Allemand obtenu à l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan, la plus grande université de Côte d’Ivoire.

Très tôt engagé dans la vie associative et politique, KKB milite au PDCI depuis 1991. Déterminé pour la cause de son parti, KKB est élu président de la jeunesse du PDCI en 2003, une organisation qu’il a dirigé avec maestria pendant une décennie.

Membre du bureau politique du PDCI depuis 2003, KKB a été député de la commune de Port-Bouët dans le sud d’Abidjan de 2011 à 2016. En 2015, KKB est candidat indépendant à l’élection présidentielle, un scrutin au terme duquel il est arrivé troisième avec 3,88%, des suffrages derrière Affi N’Guessan ( 9,29%) et Alassane Ouattara ( 83,66%). Depuis le 14 septembre dernier, date à laquelle le Conseil constitutionnel ivoirien a donné la liste des candidats retenus pour la présidentielle du 31 octobre prochain, KKB est officiellement candidat à cette élection. Il a pour adversaires Alassane Ouattara, le président sortant, Henri Konan Bédié, le président du PDCI et Pascal Affi N’Guessan, l’ancien premier ministre et président du Front populaire ivoirien ( FPI).

KKB veut incarner la nouvelle génération

Malgré l’appel au boycott de l’élection présidentielle du 31 octobre prochain lancé par l’opposition ivoirienne, KKB qui dit incarner la nouvelle génération à cette élection, n’entend pas se retirer de la course. Mieux, il dit croire en ses chances de battre à ce scrutin, le président sortant Alassane Ouattara. Âgé de 52 ans, KKB qui est le plus jeune parmi les candidats retenus à cette élection présidentielle, ambitionne de fédérer la jeunesse autour de sa candidature et de faire de son âge un atout.

« La jeunesse est l’avenir de notre nation. Elle est celle par qui notre pays se relèvera. Je serai le Président qui permet à la jeunesse de reprendre son destin en main», a promis KKB vendredi à Divo dans le Centre-ouest du pays lors d’une cérémonie de lancement de sa campagne électorale.

Il s’est offusqué à cette occasion du mot d’ordre de boycott de l’élection lancé par l’opposition estimant que « déserter les urnes n’est pas la solution».

« Il n’y a que par le vote qu’on peut faire entendre sa voix. Jeunesse de Côte d’Ivoire, ne perdez pas espoir», a lancé Kouadio Konan Bertin aux jeunes.

S’écartant de la conception du pouvoir portée par les principaux leaders politiques ivoiriens, notamment Alassane Ouattara, Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo, KKB ambitionne d’innover une fois élu président de la République de Côte d’Ivoire.

« Tous ceux que je vois ont déjà gouverné ce pays. Maintenant, je comprends tous les maux de la Côte d’Ivoire. Les oiseaux de même plumage volent ensemble. Nous, nous ne sommes pas du même plumage », a soutenu le candidat KKB.

Né le 28 décembre 1968 à Lakota dans Centre-ouest ivoirien, Kouadio Konan Bertin dit KKB est titulaire d’une maîtrise en Allemand obtenu à l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan, la plus grande université de Côte d’Ivoire.

Très tôt engagé dans la vie associative et politique, KKB milite au PDCI depuis 1991. Déterminé pour la cause de son parti, KKB est élu président de la jeunesse du PDCI en 2003, une organisation qu’il a dirigé avec maestria pendant une décennie.

Membre du bureau politique du PDCI depuis 2003, KKB a été député de la commune de Port-Bouët dans le sud d’Abidjan de 2011 à 2016. En 2015, KKB est candidat indépendant à l’élection présidentielle, un scrutin au terme duquel il est arrivé troisième avec 3,88%, des suffrages derrière Affi N’Guessan ( 9,29%) et Alassane Ouattara ( 83,66%). Depuis le 14 septembre dernier, date à laquelle le Conseil constitutionnel ivoirien a donné la liste des candidats retenus pour la présidentielle du 31 octobre prochain, KKB est officiellement candidat à cette élection. Il a pour adversaires Alassane Ouattara, le président sortant, Henri Konan Bédié, le président du PDCI et Pascal Affi N’Guessan, l’ancien premier ministre et président du Front populaire ivoirien ( FPI).

KKB veut incarner la nouvelle génération

Malgré l’appel au boycott de l’élection présidentielle du 31 octobre prochain lancé par l’opposition ivoirienne, KKB qui dit incarner la nouvelle génération à cette élection, n’entend pas se retirer de la course. Mieux, il dit croire en ses chances de battre à ce scrutin, le président sortant Alassane Ouattara. Âgé de 52 ans, KKB qui est le plus jeune parmi les candidats retenus à cette élection présidentielle, ambitionne de fédérer la jeunesse autour de sa candidature et de faire de son âge un atout.

« La jeunesse est l’avenir de notre nation. Elle est celle par qui notre pays se relèvera. Je serai le Président qui permet à la jeunesse de reprendre son destin en main», a promis KKB vendredi à Divo dans le Centre-ouest du pays lors d’une cérémonie de lancement de sa campagne électorale.

Il s’est offusqué à cette occasion du mot d’ordre de boycott de l’élection lancé par l’opposition estimant que « déserter les urnes n’est pas la solution».

« Il n’y a que par le vote qu’on peut faire entendre sa voix. Jeunesse de Côte d’Ivoire, ne perdez pas espoir», a lancé Kouadio Konan Bertin aux jeunes.

S’écartant de la conception du pouvoir portée par les principaux leaders politiques ivoiriens, notamment Alassane Ouattara, Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo, KKB ambitionne d’innover une fois élu président de la République de Côte d’Ivoire.

« Tous ceux que je vois ont déjà gouverné ce pays. Maintenant, je comprends tous les maux de la Côte d’Ivoire. Les oiseaux de même plumage volent ensemble. Nous, nous ne sommes pas du même plumage », a soutenu le candidat KKB.

Né le 28 décembre 1968 à Lakota dans Centre-ouest ivoirien, Kouadio Konan Bertin dit KKB est titulaire d’une maîtrise en Allemand obtenu à l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan, la plus grande université de Côte d’Ivoire.

Très tôt engagé dans la vie associative et politique, KKB milite au PDCI depuis 1991. Déterminé pour la cause de son parti, KKB est élu président de la jeunesse du PDCI en 2003, une organisation qu’il a dirigé avec maestria pendant une décennie.

Membre du bureau politique du PDCI depuis 2003, KKB a été député de la commune de Port-Bouët dans le sud d’Abidjan de 2011 à 2016. En 2015, KKB est candidat indépendant à l’élection présidentielle, un scrutin au terme duquel il est arrivé troisième avec 3,88%, des suffrages derrière Affi N’Guessan ( 9,29%) et Alassane Ouattara ( 83,66%). Depuis le 14 septembre dernier, date à laquelle le Conseil constitutionnel ivoirien a donné la liste des candidats retenus pour la présidentielle du 31 octobre prochain, KKB est officiellement candidat à cette élection. Il a pour adversaires Alassane Ouattara, le président sortant, Henri Konan Bédié, le président du PDCI et Pascal Affi N’Guessan, l’ancien premier ministre et président du Front populaire ivoirien ( FPI).

Mais, l’appel au boycott de cette élection lancé par MM. Bédié et Affi, KKB pourrait être le seul adversaire de M. Ouattara à ce scrutin. Ils sont d’ailleurs les deux candidats qui sont en campagne électorale depuis le 15 octobre dernier. La présidentielle ivoirienne est constitutionnellement prévue le 31 octobre prochain.

LB/ls/APA



Avec Abidjan.net

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