Libreville, capitale gabonaise ne saurait se défaire des vices qui la tiennent prisonnière et incessamment grandissants.

L’anarchie qui semble prendre le dessus dans les quartiers de la capitale gabonaise est telle qu’elle se présente désormais sous une forme de ferme qui ne dit pas son nom.

En effet, il n’est plus rare de croiser un un porc, un mouton, une poule, un canard dans les intinéraires quotidiennement empruntés par les nombreux riverains.

Le chien et le chat demeurant les animaux domestiques classics les plus usuels dans l’environnement citadin, il devient courant de construire des mini-fermes pour élevage des porcs, ou des poules, pour que ces espèces n’errent pas autour des habitations.

D’ailleurs, des poulaillers se multipliant à une vitesse exponentielle ne cessent d’envahir les quartiers, quand les porcs élevés dans des porcheries dressées au sein domiciles privés ne se retrouvent pas dans les domiciles de paisibles citoyens.

La présence de ces animaux susciterait plusieurs interrogations. D’aucuns avouent en ignorer la Provenance, alors que d’autres l’attribuent à des pratiques de la médecine traditionnelle, laquelle utiliserait ces poules dans une des phases du processus de traitement des malades, avant de les relaxer dans la nature. On ne peut qu’attirer l’attention des plus hautes autorités afin de neutraliser cette gangrène de plus dans les rues de Libreville



Avec Le Touraco vert

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