Angèle Makombo : « La femme congolaise est absente au niveau des instances de prise des décisions »

La femme congolaise est absente au niveau des instances de prise des décisions. C’est ce qu’estime Angèle Makombo, présidente du parti politique Ligue des démocrates congolais (LIDEC). A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, Angèle Makombo qu’en RDC, il reste beaucoup à faire pour l’autonomisation, la participation politique et la promotion des femmes.

La présidente de LIDEC appelle les autorités congolaises à mettre en œuvre tous les textes ratifiés pour l’avancement de la cause de la femme.

« La femme congolaise est absolument absente au niveau des instances de prise des décisions. C’est vraiment regrettable. Dans le gouvernement sortant, on avait 59 ministres, à peine on comptait 7 femmes. A l’Assemblée nationale, à peine 10% des femmes, au Sénat 8% des femmes, à la Cour constitutionnelle aucune femme. C’est peut-être seulement au Conseil économique et social, institution à laquelle je suis fière d’appartenir, où il y a environ 18% des femmes. C’est un bilan plus que mitigé », s’indigne Angèle Makombo.

Elle reconnait quand même certaines avancées en ce qui concerne le domaine éducatif.

« Il ne faut pas nier qu’il y a eu des avancées. Les femmes congolaises vont de plus en plus à l’école, elles sont instruites, elles sont dans tous les secteurs d’activités », reconnait Angèle Makombo.

Angèle Makombo : « La femme congolaise est absente au niveau des instances de prise des décisions »

La femme congolaise est absente au niveau des instances de prise des décisions. C’est ce qu’estime Angèle Makombo, présidente du parti politique Ligue des démocrates congolais (LIDEC). A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, Angèle Makombo qu’en RDC, il reste beaucoup à faire pour l’autonomisation, la participation politique et la promotion des femmes.

La présidente de LIDEC appelle les autorités congolaises à mettre en œuvre tous les textes ratifiés pour l’avancement de la cause de la femme.

« La femme congolaise est absolument absente au niveau des instances de prise des décisions. C’est vraiment regrettable. Dans le gouvernement sortant, on avait 59 ministres, à peine on comptait 7 femmes. A l’Assemblée nationale, à peine 10% des femmes, au Sénat 8% des femmes, à la Cour constitutionnelle aucune femme. C’est peut-être seulement au Conseil économique et social, institution à laquelle je suis fière d’appartenir, où il y a environ 18% des femmes. C’est un bilan plus que mitigé », s’indigne Angèle Makombo.

Elle reconnait quand même certaines avancées en ce qui concerne le domaine éducatif.

« Il ne faut pas nier qu’il y a eu des avancées. Les femmes congolaises vont de plus en plus à l’école, elles sont instruites, elles sont dans tous les secteurs d’activités », reconnait Angèle Makombo.

 



Avec Radio Okapi

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