Sorti des méandres de l’anonymat par Brice LACCRUCHE ALIHANGA, le Directeur de cabinet du président Ali BONGO ONDIMBA, l’égotiste Patrichi TANASSA, Directeur général de Gabon Oil Company (GOC), sentant le vent tourner à cause de la maladie du président gabonais, n’a pas hésité à commanditer des attaques d’une rare violence contre son bienfaiteur, Mme Marie-Madeleine MBORANTSUO, la présidente de la cour constitutionnelle, le néo député, l’honorable Jean Pierre OYIBA et la 1ère Dame du Gabon, Mme Sylvia BONGO ONDIMBA. Drôle de façon de dire merci !

Gabon : Brice LACCRUCHE ALIHANGA trahit par PATRICHI TANASSA, DG de la GOCPatrichi TANASSA, Directeur général de Gabon Oil Company (GOC)

 

« Nourrir un serpent dans son sein »

On se souvient tous de Céline Alexandre, cette blogueuse qui a vécu sur internet le temps d’une semaine; On l’avait découvert au plus fort de la crise entre le cabinet présidentiel et une certaine partie du gouvernement. Céline Alexandre, une blogueuse dont les écrits incisifs étaient systématiquement partagés par une armée d’avatars sur Facebook. Les cibles de Céline:   Brice Laccruche et Sylvia Bongo.

Ce qu’on ne savait pas, c’est que derrière ces attaques en règle, il y avait un commanditaire: PATRICHI TANASSA, LE FINANCIER DES ACTIVISTES DE LA DIASPORA.

Celui qu’on appelle dans le milieu « Le pétrolier« , s’est assuré les services de Jonas Moulenda, Thibaut Adjatys, Gaël Koumba Ayouné et Céline Alexandre (un pseudonyme) pour attaquer la tête de la république sur les réseaux sociaux et ne jamais apparaître.

C’est ainsi que malgré les perpétuelles récriminations de certains personnels, PATRICHI TANASSA n’a jamais fait l’objet d’un seul article de presse, bien au contraire, pour le surdoué qui a réussi l’exploit d’être nommé meilleur manager de la CEMAC en à peine 6 mois de fonction. Si le prix Nobel ne lui est pas décerné, le prix de la fourberie pourrait lui être décerné sans ambages au vu des révélations dont nous avons décidé de nous faire l’écho.

Croyant le président Ali BONGO ONDIMBA décédé, PATRICHI TANASSA va lancer une fatwa sur certaines personnalités politiques parmi lesquelles ses mentors. Celui qui crie avec arrogance, «  C’est grâce à moi si le PDG a gagné les législatives, j’ai tout payé« , a décidé de faire le ménage autour de lui.

Il sera aidé dans cette basse besogne inqualifiable par un groupe d’activistes dont on retrouvera les traces à Montpellier lors des obsèques de M. Edouard Valentin, père de Mme Sylvia Bongo Ondimba.

Les activistes qui écrivent à la demande pour TANASSA sont entretenus par un certain « DAMAS« , son bras droit chargé des finances qu’il va envoyer sur la France à deux reprises, dont une mission pendant la semaine du 12 janvier. Pendant ce séjour, le dénommé DAMAS rencontre plusieurs activistes dans un café parisien non loin de la rue de la Boétie (Paris 8). L’objectif est simple :  S’assurer que PATRICHI TANASSA, ne soit jamais la cible des nombreuses publications de ces derniers, et orienter les tirs sur Brice LACCRUCHE ALIHANGA, Sylvia BONGO ONDIMBA et Mme MBORANTSUO (la présidente de la cour constitutionnelle), qui sont auprès du président convalescent. Sa mission terminée, le dénommé DAMAS rentrera à Libreville entre les 13 et 14 janvier par vol Air France.

Pour brouiller les pistes, on attribuera à Mme Sylvia Bongo dans un blog la phrase suivante :  « J’encule la république« 

Dans son scénario, M. PATRICHI TANASSA, n’avait pas prévu la reconduite de M. Brice LACCRUCHE aux affaires; c’est ainsi qu’il fera suspendre la cabale contre Laccruche une fois assuré qu’il ne pourra pas s’en débarrasser facilement.

 

« Apprends à nager à un ingrat, et bientôt il te noiera »

Mais qu’est-ce qui motive donc ce jeune homme à qui le sommet de l’état a tout juste confié le management de la plus grande entreprise gabonaise malgré un niveau de compétence qui a fait rire plus d’un sous le ciel du Gabon?

Profitant des facilités de décaissement liées aux demandes récurrentes de ses mentors, Patrichi TANASSA s’est constitué un petit trésor de guerre qui lui permet de tirer les ficelles depuis son bureau du siège social de la GOC où il reçoit à longueur de journée des hommes politiques, des membres de la présidence et de la société civile, le tout filmé par 7 caméras qu’il a fait récemment installer. C’est ce qui l’a emmené à dire à une de ses nombreuses conquêtes: « Je les tiens tous par les couilles; celui qui m’embête, je balance tout aux activistes »

Pas sûr que les personnes reçues dans ce bureau mallettes en mains apprécient de savoir qu’elles ont été entièrement filmées lors de ces transactions.

Jusqu’à ce jour, PATRICHI TANASSA ne craint rien. Son arrogance vis à vis de son personnel et certains de ses mentors commence à apparaître comme une menace pour la bonne marche des affaires de l’état.

 

Affaire à suivre…

Rédaction @DBNEWS

11 février 2019

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