Actes de naissance d’Ali Bongo : Pourquoi les juridictions Françaises se disent non compétentes sur ce dossier
Un cheval de Troie nommé “ONAIDA BONGO ONDIMBA”
Le parquet de Nantes avait été saisi suite à la plainte introduite par Onaida Maisha Bongo Ondimba contre X, auprès du tribunal de première instance de cette ville, parce qu’elle avait des doutes sur la nature des documents qui allaient lui être communiqués par le service des archives de la coloniale de Nantes, qui conservent les documents d’état civil donc l’acte de naissance d’Ali Bongo Ondimba son frère et cohéritiers dans la succession de leur père, le défunt président Omar Bongo Ondimba.
Comme Ponce Pilate : la France se lave les mains
Réponse du parquet en date du 19 février 2016 : “Les faux, à les supposer établis, ont été rédigés au Gabon et utilisés dans ce pays lors de l’ouverture de la succession. Or, les juridictions françaises ne sont pas compétentes pour connaître des délits commis à l’étranger lorsque, ni l’auteur, ni la victime ne sont français.”
(Source : ECHOS DU NORD)
“Affaire politico-familiale”
Pour comprendre ce dossier et la position des juridictions françaises, il suffit d’écouter la réponse faite par Monsieur Jean-de Dieu Moukagni wangou, le 21 février 2016, lors de la conférence de presse organisée conjointement par la CAPPO ET UPG. Déclaration de M. Jean de Dieu Moukagni Iwangou –
Acte de naissance d’Ali Bongo Ondimba : “Onaïda (Bongo Ondimba) nous a servi, nous sert de poisson pilote pour prouver la duplicité d’une certaine France.”
Conclusion : ceux qui criaient « Opération politique » n’avaient pas tort et la France dit : C’est sans moi !
AM DWORACZEK-BENDOME
Publié, le 29 février 2016