MONSIEUR MBA OBAME CELUI QUI DIT SANS DIRE !
Contexte
C’est depuis l’Afrique du Sud où il se trouve encore, que Monsieur André MBA OBAME a renoué le contact avec les Gabonais. En effet, le secrétaire exécutif de l’ex-UN (parti Union Nationale) avait quitté Libreville le 14 juin 2011, après qu’on lui ait diagnostiqué une sciatique paralysante. Petit Rappel utile – avant que cette maladie ne se déclare, Monsieur ANDRE MBA OBAME s’était autoproclamé président élu du Gabon en janvier en 2011, suite aux élections présidentielles contestées du 30 aout 2009 au Gabon.
• L’homme MBA OBAME, dans un décor simple sans chichi, avec parfois un peu d’interférence, est apparu bien combatif, en pleine possession de ces moyens et de ces facultés intellectuelles, incisif, ne lâchant sur rien, ne concédant rien sur celui qu’il estime ne pas être à sa place, appuyant sur des points qui lui paraissaient essentiels, touchant où ça peut faire mal, orientant l’entretien vers les sujets qui le tenaient à coeur, semblant presque apprécié lui même, ce nouveau tour qu’il jouait à son frère, ALI BEN BONGO ONDIMBA.
Le message – Il n’y avait pas d’improvisation, des formules clés semblaient avoir bien été préparées d’avance et exprimées dans le ton de la confidence, de l’intime, du partage d’un moment privilégié, de vérité nue, pas de fioriture, dans le pur style du « face to face »
Exercice périlleuse – Il se devait de donner l’image rasséréné, pas d’un homme obsédé par une chose qu’il n’a pas eu, une personne soucieuse de l’intérêt commun, de la nation, du peuple et surtout de la gravité des évènements antérieurs et de leurs conséquences.
Néanmoins, tout le long de l’entretien, la cible de ces reproches, sa marotte reste son frère, ALI BEN BONGO ONDIMBA.
• MBA OBMA NOUS FERAIT-IL DU CHARLES PASQUA !
CHARLES PASQUA est un ancien ministre de l’Intérieur Français, dans le premier gouvernement de cohabitation sous Monsieur François Mitterrand, Monsieur Jacques Chirac en était le Premier ministre. Il a menacé à maintes reprises de « balancer les secrets » d’état, à cause de multiples affaire en justice. une longue carrière aux affaires politico – politiciennes a permi à ce derniers d’acceder à des secrets importants – et dès qu’il se trouve en difficulté, à toute fin utile, il clame pouvoir faire sauter la république . On attend encore de voir, car jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement en France n’est tombé grâce aux révélations croustillantes de Monsieur Charles Pasqua, l’exercice de la grenade prêt à être dégoupillée à ces limites.
• Je dis sans trop dire, je laisse entendre entre les lignes, je fais du peuple mon confident, à lui de déduire, de se débrouiller avec ça. C’est cette exerce qu’a pratiqué avec une délectation non dissimulée, l’ancien Ministre de l’Intérieur gabonais, ANDRE MBA OBAME. Il a laissé comprendre sous le ton « moi, je n’ai à me reprocher » :
« Monsieur ALI BONGO aurait souhaité l’installation d’une monarchie au Gabon.
Plus grave encore : « Monsieur ALI BONGO ONDIMBA aurait voulu faire retirer à l’état gabonais son rôle régalien de fabriquer des pièces administratives, comme les passeports, cartes d’identités, permis de conduire etc.., pour le céder à une société privée, une ignominie qu’il suit arrêter à temps.
Concernant l’affaire du franco LIBANAIS, Monsieur BOURGI ROBERT, MONSIEUR « LE TRANSPORTEUR DE MALETTES ». La prouesse de l’homme a été époustouflante, il a parlé de droit de réserve due à ses anciennes fonctions de grand commis de l’état.
Après un bon petit aparté, qui consistait à rappeler le rôle néfaste qu’avait joué ce lieutenant de la France à fric dans les élections de l’aout 2009, au Gabon.
L’homme ne semble pas fini, qu’on l’apprécie ou pas, c’est un tribun, un habile politicien et ne manque guère d’atouts dans son jeu. La seule inconnue est de savoir, si peuple lambda suivra cette fois. Il ne faut pas oublier que celui qui accuse à pendant des années trouver tout son intérêt à duper lui aussi la population.
• Requinqué et prêt en découdre avec ALI BONGO ONDIMBA, la politique politicienne, ce n’est pas ce qu’attend le citoyen ordinaire, ces problèmes demeurent les mêmes hier comme aujourd’hui : l’emploi, la vie chère, la justice, le logement, l’insécurité, le respect droits des personnes ordinaires, etc.… l’avenir des jeunes, des personnes âgées oubliées, l’accès gratuits aux jeunes filles de moyens de contraception, les orphelins abandonnés à eux mêmes, etc… Ce serait peut être un peu plus intéressant et plus emphase avec les préoccupations des gens « ça parle au petits gens » , qu’il fasse sienne le combat du peuple, lui comme les autres, cela vaut pour tous les bords politique
Ainsi va le Gabon, Wait and see, l’avenir nous le dira…..
Am dworaczek-bendome